C’est la vie...
Ce dernier samedi a été particulièrement difficile.
Je suis allée à la pension comme d’habitude. J’avais pris ma chienne avec moi. Je voulais essayer de voir si je pouvais partir en balade à cheval avec elle.
Je suis allée chercher Owen et je l’ai mis à l’attache. La propriétaire de la pension a ramené du pré un cheval malade, Orient. Le pauvre était dégoulinant de sueur et respirait difficilement. J’ai alors laissé Owen pour donner un coup de main aux filles qui commençaient à le bouchonner avec de la paille.
D’autres cavalières sont arrivées au fur et à mesure et toutes venaient aider. On a récupérer toutes les couvertures séchantes qu’on avait, mis le cheval au soleil, pris sa température, rechercher des conseils dans un livre, essayé de lui donner à boire et on attendait... On attendait le vétérinaire, impatiemment, conscientes que le cheval allait mal.
On a attendu plus d’une heure et demie et enfin, il est arrivé. Et là, dans les bribes de conversation, j’ai entendu : ”...l’endormir...”. Nous avons toutes commencé à pleurer silencieusement. Je me suis blottie contre la tête d’Owen, cachant ma détresse et cherchant du réconfort.
Le vétérinaire a déplacé le cheval et nous avons toutes suivi. Nous voulions accompagné ce petit cheval dans ses derniers instants. La situation devait être dure pour le vétérinaire qui procédait aux injections, car nous étions toutes là, à sangloter autour de lui. Ce moment a été long, silencieux, pesant. Les injections se succédaient... Orient s’est enfin couché. Quelques minutes plus tard, il arrêtait de respirer.
Encore des larmes et des sanglots, puis une dernière caresse à ce petit cheval en guise d’au revoir...
Mais, la vie continue et Owen avait besoin de moi. Je suis allée le brosser pour m’occuper l’esprit. Anaëlle m’a proposé une ballade. Oui, bonne idée. Ca nous a fait du bien, on a discuté, rigolé. On s’est fait deux bons galop. Le pauvre Owen était fatigué et trempé, j’ai préféré faire les derniers mètres à pied.
Cette journée finissait enfin. Et ce n’était pas plus mal...
Je suis allée à la pension comme d’habitude. J’avais pris ma chienne avec moi. Je voulais essayer de voir si je pouvais partir en balade à cheval avec elle.
Je suis allée chercher Owen et je l’ai mis à l’attache. La propriétaire de la pension a ramené du pré un cheval malade, Orient. Le pauvre était dégoulinant de sueur et respirait difficilement. J’ai alors laissé Owen pour donner un coup de main aux filles qui commençaient à le bouchonner avec de la paille.
D’autres cavalières sont arrivées au fur et à mesure et toutes venaient aider. On a récupérer toutes les couvertures séchantes qu’on avait, mis le cheval au soleil, pris sa température, rechercher des conseils dans un livre, essayé de lui donner à boire et on attendait... On attendait le vétérinaire, impatiemment, conscientes que le cheval allait mal.
On a attendu plus d’une heure et demie et enfin, il est arrivé. Et là, dans les bribes de conversation, j’ai entendu : ”...l’endormir...”. Nous avons toutes commencé à pleurer silencieusement. Je me suis blottie contre la tête d’Owen, cachant ma détresse et cherchant du réconfort.
Le vétérinaire a déplacé le cheval et nous avons toutes suivi. Nous voulions accompagné ce petit cheval dans ses derniers instants. La situation devait être dure pour le vétérinaire qui procédait aux injections, car nous étions toutes là, à sangloter autour de lui. Ce moment a été long, silencieux, pesant. Les injections se succédaient... Orient s’est enfin couché. Quelques minutes plus tard, il arrêtait de respirer.
Encore des larmes et des sanglots, puis une dernière caresse à ce petit cheval en guise d’au revoir...
Mais, la vie continue et Owen avait besoin de moi. Je suis allée le brosser pour m’occuper l’esprit. Anaëlle m’a proposé une ballade. Oui, bonne idée. Ca nous a fait du bien, on a discuté, rigolé. On s’est fait deux bons galop. Le pauvre Owen était fatigué et trempé, j’ai préféré faire les derniers mètres à pied.
Cette journée finissait enfin. Et ce n’était pas plus mal...