Changement de pension : raisons et transport
Je me décide enfin à reprendre mon blog, lâchement abandonné durant trois mois.
Il y a eu quelques changements entre temps !!
On reprend tout depuis le début.
Tout d'abord, Owen a changé de pension. Chez les gens où il était, je me sentais isolée. Je devais être une des seules personnes à venir m'occuper de mon cheval et je ne voyais jamais personne, à part les propriétaires de la pension... J'avais aussi envie de continuer le dressage d'Owen (ce qui était difficile sans carrière...) et pourquoi pas de prendre des cours... Et puis, si j'avais pu trouver une pension plus près de Brest...
Ducoup, je me suis pas mal renseignée sur les pensions existant dans le coin. Il était hors de question de changer pour moins bien. On m'a conseillé une pension dans une ferme. Quand j'y suis allée, ça m'a tout de suite plu. Les propriétaires des lieux étaient adorables. Il y avait une belle carrière avec du matériel pour sauter (barres, chandeliers, pneus...), de grandes prairies, des petites routes de campagne pour se promener, et surtout plusieurs autres cavaliers propriétaires !
Il fallait juste trouver un moyen de transport pour le poon. Humm, pas gagné...
Je me suis décidée à louer un van pour faire les 30 km qui nous séparait de la nouvelle pension. Un peu anxieuse la fille de transporter elle-même son loulou... Franchement, pas rassurée même. J’ai demandé à Gaetano de m’accompagner bien sûr...
J’ai stressé toute la semaine précédente... Mais bon, avoir un irish ça aide à être zen. Owen m’a encore épatée en me suivant bien gentiment dans le van sans rien dire. «On retourne dans la boîte ?» Juste un petit hennissement, pour dire au revoir aux copains.
Trajet très calme, avec ma pauvre voiture qui peinait sacrément dans les montées (c’est beau le Finistère, mais c’est bien vallonné...). Franchement, je ne le referai pas tant que je n’aurai pas une voiture adaptée, là, j’étais hyper tendue. «Si j’avais su, j’aurai pas v’nu !»
Mais bon, Owen n’a pas bougé d’une oreille, heureusement et il est arrivé à bon port en un seul morceau !
Le débarquement en marche arrière, il ne sait toujours pas faire... Il s’est tortillé pour faire demi-tour dans le van ! Un hennissement : «Est-ce qu’il y a des copains ici ?».
Gaetano l’a laissé brouter la pelouse pendant que je déplaçais le van. Puis, on l’a lâché dans son pré. Il a regardé autour de lui 2 min, et il s’est mis à brouter. Owen, quoi... :D
Le lendemain, on a fait le tour du propriétaire. Les vaches, les nouveaux copains chevaux, le chien de la ferme, la carrière, les tracteurs, les remorques... Ca en fait des choses à voir et à renifler. En plus, la ferme est juste derrière l’aéroport de Brest. Je vais avoir un cheval qui n’aura pas peur des avions !
Il y a eu quelques changements entre temps !!
On reprend tout depuis le début.
Tout d'abord, Owen a changé de pension. Chez les gens où il était, je me sentais isolée. Je devais être une des seules personnes à venir m'occuper de mon cheval et je ne voyais jamais personne, à part les propriétaires de la pension... J'avais aussi envie de continuer le dressage d'Owen (ce qui était difficile sans carrière...) et pourquoi pas de prendre des cours... Et puis, si j'avais pu trouver une pension plus près de Brest...
Ducoup, je me suis pas mal renseignée sur les pensions existant dans le coin. Il était hors de question de changer pour moins bien. On m'a conseillé une pension dans une ferme. Quand j'y suis allée, ça m'a tout de suite plu. Les propriétaires des lieux étaient adorables. Il y avait une belle carrière avec du matériel pour sauter (barres, chandeliers, pneus...), de grandes prairies, des petites routes de campagne pour se promener, et surtout plusieurs autres cavaliers propriétaires !
Il fallait juste trouver un moyen de transport pour le poon. Humm, pas gagné...
Je me suis décidée à louer un van pour faire les 30 km qui nous séparait de la nouvelle pension. Un peu anxieuse la fille de transporter elle-même son loulou... Franchement, pas rassurée même. J’ai demandé à Gaetano de m’accompagner bien sûr...
J’ai stressé toute la semaine précédente... Mais bon, avoir un irish ça aide à être zen. Owen m’a encore épatée en me suivant bien gentiment dans le van sans rien dire. «On retourne dans la boîte ?» Juste un petit hennissement, pour dire au revoir aux copains.
Trajet très calme, avec ma pauvre voiture qui peinait sacrément dans les montées (c’est beau le Finistère, mais c’est bien vallonné...). Franchement, je ne le referai pas tant que je n’aurai pas une voiture adaptée, là, j’étais hyper tendue. «Si j’avais su, j’aurai pas v’nu !»
Mais bon, Owen n’a pas bougé d’une oreille, heureusement et il est arrivé à bon port en un seul morceau !
Le débarquement en marche arrière, il ne sait toujours pas faire... Il s’est tortillé pour faire demi-tour dans le van ! Un hennissement : «Est-ce qu’il y a des copains ici ?».
Gaetano l’a laissé brouter la pelouse pendant que je déplaçais le van. Puis, on l’a lâché dans son pré. Il a regardé autour de lui 2 min, et il s’est mis à brouter. Owen, quoi... :D
Le lendemain, on a fait le tour du propriétaire. Les vaches, les nouveaux copains chevaux, le chien de la ferme, la carrière, les tracteurs, les remorques... Ca en fait des choses à voir et à renifler. En plus, la ferme est juste derrière l’aéroport de Brest. Je vais avoir un cheval qui n’aura pas peur des avions !